Au coin du feu
Assis autour d'un feu
ils savouraient à deux
ce moment très chaleureux.
Ils étaient comme des amoureux
et tels des bienheureux
ne pensaient qu'à eux
et peut être à Dieu
qui veillait un petit peu
très haut dans les cieux
à ce qu'ils ne soient pas soucieux.
Ils étaient prisonniers de leur propre jeu
où ils évoluaient dans un lieu
guidés par d'étranges et énormes pieux
plantés dans des trous et toujours au milieu
j'aurai pu pour cette histoire faire mieux
pour jongler avec les rimes en eu
mais j'aime m'amuser avec les peureux
et pondre des poèmes avec plein de noeuds
histoire aussi d'embêter les curieux
à l'esprit trop poussiéreux
pour comprendre que ce poème un peu boiteux
n'intéresse que les amateurs de contes mystérieux
qui raffolent de mes vers scabreux
écris dans des lieux miteux.
Je reviens sur mes vers douteux
pour vous présenter mes meilleurs voeux
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